[love at first bite]

nom complet  ◦ Daniela Ford Carneiro Rawlins - Il y a ses origines qui se trahissent de par son prénom, Daniela, l'étrangère à l'accent éphémère. Prénom écorché par bon nombre de ses professeurs, mais tout de même fière de cette consonance latine qui lui rappelle sa mère. Le deuxième prénom, un choix de son père - à défaut d'avoir eu un fils, il choisit la marque de sa première bagnole, un Ford Escape, la classe. Surnommée Dani par sa famille, par ses amis également et ce, depuis son plus jeune âge, il n'en reste pas moins qu'elle est une Rawlins; famille puissante de l'industrie pétrolière, dont elle tente de se dissocier depuis aussi loin qu'elle puisse s'en souvenir. âge, date et lieu de naissance  ◦ Vingt-sept années qu'elle papillonne sur cette terre, la trentaine s'avançant à grand pas. Dani, elle a jamais eu peur de vieillir - elle qui s'associe à un bon vin, développant une certaine excellence avec l'âge. À l'instar de sa soeur, la jeune femme est née sur Manhattan, New York, un certain vingt-neuf mars. origines et nationalité  ◦ Sa peau inspire la moiteur du sud et pour cause Daniela, elle possède deux passeport; un mexicain, l'autre américain. doux mélange de ces deux nationalités, Dani parle un espagnol fluent, mais cassé à la fois, préférant - dans ce beau pays gouverné par un orang-outan (no insult intended to the animal), elle préfère parler l'anglais avec un accent des plus eastern possible - ayant apprit à ses dépends que l'habit semble faire le moine pour bon nombre de concitoyens. diplôme(s), activité et statut financier  ◦ Quand elle était plus jeune, Daniela s'amusait, au point de négliger complètement l'école - aussi son parcours scolaire fut-il catastrophique - tout de même sauvé par l'argent investi par les Rawlins, de savantes donations remplies d'intérêts. Parce qu'une Rawlins ne peux rêver qu'en grand - ils deviennent juristes, ils deviennent avocats, ils deviennent quelqu'un. Rien d'autre et surtout pas des cascadeuses ou des pompières.  Elle ressemble trop à sa génitrice, fière et assoiffée de liberté. Dotée d'une intelligence remarquable, mais toutefois sélective - Dani était peut être trop insouciante, voire inconsciente (casse-cou, un trait de caractère qui la poursuit encore aujourd'hui : beaucoup des cicatrices sur son corps parlent d'elles-mêmes), pour assumer totalement la pression qui lui revenait de droit. Les compromis, l'hypocrisie, elle a tout quitté du jour au lendemain; fiancé, études en médecine, appartement. Si elle avait l'impression d'étouffer, plus maintenant. Jusqu'à présent - surtout depuis qu'elle a commencé à travailler en tant qu'ambulancière, sa nouvelle vie lui plait. Enfin, elle est à sa place, au plus grand mécontentement de la part de son père. ($$$) statut civil  ◦ (EN RECHERCHE - MPOTTES MOI TIENS). traits de caractère  ◦ méthodique, semble être froide au premier abord, sensible, effrontée à souhait, curieuse, bordélique, observatrice, impatiente, il est très difficile de cerner le fond de sa pensée; alternant entre une personnalité mystérieuse et à la fois exubérante, manie le sarcasme avec soins, tactile avec ses proches, agressive, charmeuse, lucide, intelligente, déterminée, passionnelle, pulsée par l'adrénaline à la limite de l'imprudence, vive, colérique, charnelle, un brin vindicative, trop franche, plutôt désinvolte, dramatique. quartier résidentiel  ◦ 654 Putnam Ave, dans le quartier de Bed-Stuy. Elle manque d'y rester à tous les jours, que ce soit par manque d'eau chaude ou bien par électrocution - mais son appartement, elle y tient et elle en est fière.

quelle place tient nyc dans votre cœur et pourquoi ? pensez-vous y passer le reste de vos jours ou envisagez-vous d'emménager ailleurs ? quel aspect de nyc vous représente-t-il le mieux ? citez quelques un de vos endroits favoris. ◦ New York restera à jamais la maison, pour Dani. New York, c'est ce putain de taxi qui manque de la renverser un jour sur trois, c'est ce petit resto au coin de la 5th derrière lequel elle a échangé son premier baiser, il s'agit du Central Park où elle emmenait son labrador jouer et tous ces petits marchés qui la faisait rêver. Elle n'a jamais voulu de l'Upper East Side, elle n'a jamais voulu du luxe qui lui a été imposé dès la naissance (non pas un fardeau, étant consciente de sa chance, mais bien une muselière bien cachée). Daniela, elle a toujours voulu s'affranchir et ne pas être cette poupée, cette femme faite de porcelaine (loooool, like she ever was actually that). New York permet à tout le monde de se réinventer,  pour rien au monde ne déciderait-elle de se ranger sur la côte Ouest. quel type de colocataire et/ou voisin êtes-vous ? quels sont les traits que vous appréciez chez vos colocataires et/ou vos voisins ? de même, quels sont ceux que vous ne pouvez pas supporter ? ◦ Répondez ici en quelques lignes, répondez ici en quelques lignes, répondez ici en quelques lignes. quel est votre american dream ? vos projets et ambitions ? quelle place leur accordez-vous dans votre quotidien ? ◦ Répondez ici en quelques lignes, répondez ici en quelques lignes, répondez ici en quelques lignes.

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do a flip on a trampoline go wine tasting (in prague) feel pain show up at my boyfriend's office and screw his mind out throw a dart at a map and just go

Les apparences - le seul mot ayant une valeur réelle aux yeux de la famille Rawlins. L'apparence parfaite, l'allure princière, le business familial avant tout autre chose. Le pétrole fut la vie d'Edgar Rawlins, son myocarde noirci par le charbon. Parce qu'il fut amoureux, un jour. Il tomba sous le charme de Lidia Carneiro, à qui il fit deux enfants, deux filles. Daniela, première née a toujours excellé à ces standards de perfection. Belle à en couper le souffle, intelligente tout en sachant rester discrète, maligne - mais pas trop - et surtout, surveillée. Parfaite, rien de moins. Sauf que Dani, elle n'a jamais été un ange, sans vouloir défier l'autorité parentale, sans vouloir créer de scandale, elle avait cette soif intarissable de liberté sans jamais l'obtenir. Fiancée à vingt et un ans, ce fut de trop. Pauvre homme abandonné à l'autel, rien pour expliquer la décision de la brune incendiaire. Elle allait vivre, à ses dépends, pour ses joies, comme ses moments mélancoliques. Dani, elle n'a plus peur. N'a jamais vraiment eu peur, mais enfin délivrée de cet avenir planifié d'avance, de ces décennies dont elle pouvait déjà en déterminer l'issu. ― Dani, elle ne ressent aucunement la douleur ; c'est dans ses gênes, imprégné dans son ADN. Enfant, alors dans l'ignorance de la maladie qui l'affectait, Dani, elle était un super-héros. L'espace d'un instant. "J'te dis, Spence. Invincible !" "han, han, je te crois pas." "j'vais te prouver" Deux côtes cassées et du sang perlant sur ses lèvres, plus tard - tout ce que la gamine de dix ans trouva à dire à l'époque; "C'est vrai ou tu frappes comme une fillette ?". Au fil des années, Daniela prouva à plusieurs qu'elle avait ce talent hors de l'ordinaire. De sa soeur qui lui planta une fourchette dans la main à ce garçon qui ne la croyait pas capable d'endurer un froid intense plus longtemps que lui. Jusqu'à ce que sa mère mette un mot sur ce qui l'affligeait. Insensibilité congénitale à la douleur, et depuis qu'elle a comprit qu'elle n'était pas spéciale, pas une héroïne, mais bien juste une malade - elle a bien vite déchanter, en constante quête d'un peu de douleurs (de manière consciente ou non). ― Fortement impulsive, malgré un caractère qui se veut réfléchi, pleines de secrets et dotée d'une chance innée qui lui permet de toujours retomber sur ses deux pieds, la jeune femme est une éternelle contradiction, un brasier, une battante. elle s'enflamme, puis elle s'exile quelques temps afin de comploter, l'inverse est également vrai. imprévisible, il est bien rare qu'on puisse mesurer ses réactions. ― La vérité; quelque chose de sacré, pour elle. si Daniela peut être fière d'une chose, c'est bel et bien de cela: elle ne ment jamais. Détourner, avouer à demi-mots la vérité n'est certes pas hors de ses morales, mais elle l'évite au possible. Sa parole vaut de l'or, elle ne la donne donc jamais à la légère. ― Daniela, elle a ce charisme de fou. elle hypnotise sans le vouloir, parfois trop brute, souvent trop directe, mais captivante. Ses origines latines apparentes, un sourire magnétique et elle a cette manie Dani. Trop tactile, câline. Elle touche les gens avec qui elle converse, que ce soit une main posée sur le bras, une étreinte, un effleurement. Séductrice dans l'âme, volage et assumée - sans toutefois être une prédatrice. After all, a girl has needs. ― Alors qu'elle n'était encore qu'une enfant, Daniela s'est entiché d'un instrument de musique unique; le piano. Le petit ouragan de cinq ans qu'elle était à l'époque ne pouvait se calmer qu'à une condition; jouer la chanson thème de Barney. Elle s'est mise à prendre des cours, comme pour tout autre instrumentiste, la formation inclut le solfège, l'histoire de la musique, l'analyse musicale et l'harmonie (barbant, très barbant et archi-barbant). Si elle manque singulièrement de rythme et ne peut accompagner personne, seule, elle est capable de produire de vibrantes mélodies. ― ― ― ― ― ―

pseudo/prénom  ◦ juliana, bobd, skywards, j'alteeerne. âge, pays  ◦ canada, yo c'est pas ladylike de demander l'âge, hehehe. avatar  ◦ bb blanca amour. commentaire(s)  ◦ écrire ici. autres/dédicace  ◦ j'vous fait des enfants, vous êtes beaux, le forum est beau, dlkfslakfla too much feels, je suis dispo pour des liens, je vais harceler & aime être harcelée asjdkaskfj. crédits  ◦ letters of anaïs nin & henry miller, pinterest.